Le développement durable fait partie aujourd’hui des préoccupations prioritaires des Français.
Cette prise de conscience n’est pas nouvelle. Les mouvements écologistes nés à la fin des années 70 avaient réussi à éveiller la conscience collective. Mais ce n’est que plus récemment que le développement durable a gagné son statut de cause nationale, Grenelle de l’environnement oblige. L’écologie est donc devenue l’affaire de tous !
Les sondages l’attestent, les consommateurs sont de plus en plus réceptifs au discours sur la préservation de l’environnement. Connaître l’impact de nos habitudes de consommation sur les dérèglements climatiques, sur l’utilisation des ressources naturelles, fait partie des préoccupations pour beaucoup d’entre nous. Et nous sommes toujours plus nombreux à nous déclarer prêts à modifier nos comportements d’achat afin d’en limiter les conséquences sur la planète.
Alors, qu’en est-il de l’achat en ligne ? Aujourd’hui, plus de 22 millions de Français se rendent sur internet pour y faire des achats. Au total, plus de 20 milliards euros y sont dépensés. Parallèlement, il se crée un site marchand toutes les heures en France. L’an dernier, les 48.000 e-commerçants français, ont enregistré près de 200 millions de transactions.
Pourtant, et alors que la pratique de l’achat sur internet ne cesse de se développer, les informations sur l’e-commerce et l’environnement sont toujours rares, souvent parcellaires et peu étayées.
La Fevad a donc souhaité mesurer l’impact environnemental de ce nouveau mode d’achat, de plus en plus partagé par les consommateurs en France et dans le monde.
Elle a pour cela fait appel au Cabinet d’études Estia, à qui elle a confié le soin de dresser un bilan carbone complet du e-commerce à partir d’une analyse comparative entre l’achat en ligne et l’achat dans le commerce traditionnel.
C’est la première fois qu’une telle étude est réalisée à cette échelle.
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